LANGUE ET COMMUNICATION / DUREE: 45 MIN

CONTROLE DES RES5OURCES (40 POINTS)

TEXTE :

Je pense que les agents de santé exercent l'un des métiers les plus importants du monde.

D'abord, ce métier peut nécessiter des études très poussées et exige une forte concentration car une erreur peut entrainer la mort d'une ou de plusieurs personnes

Ensuite, ce métier oblige les agents à être très serviables. Un exemple actuel, c’est le

comportement des agents de santé devant la pandémie à Coronavirus. Pendant que les gens observent une distanciation physique, ils restent aux côtés des malades et s'occupent d'eux avec beaucoup d'amour et de sacrifice. Ils prennent ainsi des risques énormes.

En outre, les agents de santé travaillent presque sans arrêt. On les réveille à tout moment de la nuit, lorsqu'il y a une urgence sanitaire.

Tels des soldats en période de guerre, les agents de santé sont toujours au front pour soulager les personnes qui souffrent. Ils méritent notre respect et notre considération.

1- COMPREHENSION DU TEXTE

Q1- Mets une croix devant le type de texte qui convient: (1 point)

texte dialogué

texte poétique

texte argumentatif

texte narratif

Q2- Que pense l’auteur du métier d'agent de santé ? (1 point)

Q3- A qui l'auteur compare-t-il les agents de santé ? (1 point)

Q4- Donne deux raisons tirées du texte qui montrent que le métier d'agent de santé n'est pas facile. (2 points)

2-CONTRÔLE DES RESSOURCES

Q5- Analyse logique de la phrase ci-dessous. (4 points)

« Je pense que les agents de santé exercent l'un des métiers les plus importants du monde. »

Q6- Nature et fonction des mots soulignés dans le texte. (4 points)

- plusieurs

- agents

- énormes

- santé

Q7- Mets chaque verbe entre parenthèses au temps qui convient. (4 points)

Hier, pendant que la pluie (tomber) , Aminata (travailler) sur son ordinateur. Tout à coup, il (tomber) en panne.

Demain, elle I'(amener) chez le réparateur.

Q8- Réécris ce texte en corrigeant les fautes contenues dans les mots soulignés.(3 points)

Dès que je pénétrai dans la maison, je reconut sur le seuil de la chambre les vieilles babouches de mon oncle. Ces babouches décoloraient, dont le bout recourbé pointait vers le ciel, avait fouler le sol de maintes routes sablonneuses.